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Zero trust c’est quoi : comprendre l’approche de sécurité moderne

Sommaires

Article rédigé par A.M.I, prestataire en infogérance, référencée sur la plateforme cybermalvaillance.gouv.fr et élue championne de la croissance 2024 par Les Echos.

Le modèle Zero Trust, ou en français « confiance zéro », représente une philosophie de sécurité informatique qui remet en cause les concepts traditionnels de périmètre de sécurité. Dans un cadre Zero Trust, la confiance n’est jamais présupposée, que ce soit envers les utilisateurs, les appareils ou les réseaux.

Chaque demande d’accès est rigoureusement contrôlée et validée selon des politiques strictes et une vérification continue des identités, permettant de minimiser les risques liés aux menaces internes et externes.

Avec la transition rapide des entreprises vers le cloud, le recours aux applications SaaS et l’augmentation du télétravail, le modèle Zero Trust devient un composant essentiel pour protéger les environnements numériques complexes.

Ce modèle s’éloigne de l’approche traditionnelle qui accorde une confiance implicite aux utilisateurs et dispositifs se trouvant à l’intérieur du réseau d’entreprise, pour adopter une politique de sécurité qui applique systématiquement le principe du moindre privilège et une vérification d’identité approfondie.

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Les points clés

  • Zero Trust est un modèle de cybersécurité qui ne présume aucune confiance et vérifie rigoureusement toutes les demandes d’accès.
  • Il est de plus en plus adopté par les entreprises en réponse à la complexité croissante des environnements informatiques modernes.
  • Ce modèle nécessite des politiques strictes de sécurité et une infrastructure permettant une authentification continue et le principe du moindre privilège.

Les principes fondamentaux de Zero Trust

La sécurité Zero Trust repose sur une approche de sécurité de confiance qui n’accorde aucune confiance a priori, adhérant ainsi strictement aux principes fondamentaux.

Elle implique une vérification systématique, où aucun utilisateur ou appareil n’est exempté de contrôles de sécurité, et elle opère selon le principe du moindre privilège.

Principe du moindre privilège

Le principe du moindre privilège stipule que l’accès aux ressources est limité aux seules autorisations nécessaires pour effectuer une tâche spécifique.

Concrètement :

  • Autorisations restreintes : les droits sont octroyés exclusivement selon les besoins de l’utilisateur ou de l’application.
  • Contrôle d’accès : des politiques strictes contrôlent l’accès dans l’approche Zero Trust, empêchant toute surélévation des privilèges sans une authentification et une vérification appropriées.

Vérification systématique

La vérification systématique est essentielle dans la sécurité Zero Trust.

Aucun acteur – interne ou externe – n’est automatiquement fiable. Les mesures suivantes sont mises en œuvre :

  • Authentification continue : chaque tentative d’accès est contrôlée par une authentification multimodale, indépendamment de la position de l’utilisateur.
  • Inspection dynamique : les systèmes de sécurité analysent activement le comportement des utilisateurs et des dispositifs pour détecter des anomalies ou des menaces potentielles.

Pour aller plus loin : Comprendre les normes et standards de cybersécurité

L’architecture de Zero Trust

L’architecture Zero Trust est conçue pour ne faire confiance à aucune entité au sein de l’infrastructure IT, qu’elle soit interne ou externe au périmètre du réseau de l’organisation.

Elle repose sur des vérifications d’authentification et une segmentation du réseau poussées, allant au-delà des frontières traditionnelles du réseau d’entreprise.

Contrôle d’accès strict

Dans l’architecture Zero Trust, le contrôle d’accès est central. Chaque demande d’accès est traitée avec suspicion et doit passer par une authentification rigoureuse, ainsi qu’une autorisation contextuelle avant d’accéder aux ressources.

Ce processus est fondé sur l’assertion qu’un individu ou une entité pourrait être un vecteur de menace potentiel, indépendamment de sa provenance.

  • Authentification : implémente des mécanismes multiples (MFA, par exemple).
  • Autorisation : contingent à des paramètres tels que le rôle, l’emplacement et l’état sécuritaire de l’appareil.

Micro-segmentation du réseau

La segmentation réseau joue un rôle prépondérant dans l’architecture Zero Trust. Elle consiste à diviser le réseau en de multiples segments sécurisés, cela crée des obstacles supplémentaires pour les acteurs malveillants cherchant à se déplacer latéralement au sein d’un réseau après y avoir pénétré.

  • Segments : création de zones d’accès restreint.
  • Contrôles : application des politiques de sécurité à chaque segment.

Stratégie de protection des données

Au cœur de l’architecture Zero Trust réside une stratégie robuste pour la protection des données.

Cela inclut la classification des données, le suivi de leur accès et de leur mouvement, et l’application de mesures de sécurité comme le chiffrement des données aussi bien au repos qu’en transit.

  • Classification : identifier les données critiques (DAAS: Data, Assets, Applications, and Services).
  • Chiffrement : assurer la confidentialité et l’intégrité des données.

Sujet similaire : Comment sécuriser son réseau Wi-Fi ?

L’implémentation de Zero Trust dans les entreprises

L’adoption de Zero Trust par les entreprises implique une transformation stratégique des pratiques de sécurité, centrée sur la gestion rigoureuse des identités et des accès, indépendamment du secteur industriel.

Cette transformation nécessite une réévaluation complète de la politique de sécurité existante.

Transformation numérique

La transformation numérique des entreprises nécessite une stratégie Zero Trust pour sécuriser les environnements informatiques de plus en plus ouverts et interconnectés.

Les solutions de sécurité doivent assurer que chaque utilisateur et chaque appareil soit authentifié et autorisé, renforçant ainsi la position de sécurité de l’organisation dans le paysage numérique actuel.

Gestion des identités et des accès

La gestion des identités et des accès est un composant essentiel du modèle Zero Trust, qui repose sur le principe que nulle entité n’est considérée de confiance a priori.

Les organisations doivent mettre en place des politiques strictes pour l’authentification des identités et contrôler rigoureusement les accès à leurs ressources, en employant des outils comme l’authentification multifacteur et la surveillance en continu des sessions utilisateur.

Adoption du modèle dans divers secteurs

L’adoption du modèle Zero Trust transcende les frontières des secteurs industriels, car toute entreprise face aux défis de la cyber-sécurité peut bénéficier de cette approche.

Des secteurs comme la finance, la santé et le gouvernement, où la protection des données sensibles est cruciale, se tournent vers Zero Trust comme solution de sécurité robuste et fiable.

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Technologie et outils pour Zero Trust

Dans la mise en œuvre du modèle Zero Trust, il est primordial de sélectionner les technologies et les outils appropriés pour assurer une sécurité réseau robuste.

Ces solutions doivent permettre une surveillance rigoureuse et offrir des possibilités d’analyse comportementale en temps réel pour détecter les activités suspectes.

Services et produits dédiés

Les services et produits dédiés au modèle Zero Trust englobent une gamme de solutions de sécurité ciblées.

Cela inclut des outils d’authentification multi-facteurs (MFA), des systèmes de gestion des identités et des accès (IAM), et des pare-feux de prochaine génération (NGFW).

Des fournisseurs comme IBM, Microsoft, et CyberArk offrent des plates-formes intégrées qui facilitent l’adoption du modèle Zero Trust.

Ces produits sont conçus pour authentifier rigoureusement les utilisateurs et les appareils avant de leur accorder un accès aux ressources de l’entreprise.

  • IBM propose une infrastructure intégrée anticipant les menaces internes et externes.
  • Microsoft met l’accent sur la protection des ressources indépendamment de l’accès réseau.
  • CyberArk se concentre sur l’accès sécurisé dans divers environnements, tels que les clouds publics et privés.

Contrôle et surveillance en temps réel

Le contrôle et la surveillance en temps réel sont essentiels pour un modèle Zero Trust efficace.

Il implique l’utilisation d’outils d’analyse comportementale qui surveillent et évaluent les activités sur le réseau en permanence.

Des solutions comme les systèmes de détection et de prévention des intrusions (IDPS) et les logiciels de gestion des informations et événements de sécurité (SIEM) jouent un rôle crucial dans la détection des comportement anormaux et des menaces potentielles.

  • Les solutions SIEM collectent des données diverses pour une vue d’ensemble de la sécurité réseau.
  • Les systèmes IDPS analysent le trafic réseau pour détecter et prévenir les intrusions.

Pour aller plus loin : Fuite de données : s’en prémunir avec des stratégies efficaces

Défis et considérations pour l’adoption de Zero Trust

L’adoption du modèle de sécurité Zero Trust représente un changement significatif par rapport aux approches traditionnelles.

Ce passage nécessite une réévaluation des stratégies de sécurité réseau et de la gestion des risques pour assurer la conformité et la protection des systèmes.

Dépassement de l’approche périmétrique traditionnelle

L’approche traditionnelle de la sécurité des réseaux est souvent basée sur un modèle périmétrique, dans lequel tout ce qui se trouve à l’intérieur du réseau est considéré comme fiable.

L’intégration des principes du Zero Trust nécessite un changement de paradigme : il n’y a plus de périmètre défini au sein duquel la confiance est accordée.

Les organisations doivent concevoir des politiques où la sécurité ne repose pas sur la localisation d’un utilisateur ou d’un dispositif mais plutôt sur une vérification constante de l’identité et du contexte des demandes d’accès.

  • Redéfinition des frontières : les frontières traditionnelles sont dissoutes, considérant que les menaces peuvent survenir de l’intérieur comme de l’extérieur du réseau.
  • Principe du moindre privilège : les accès sont limités strictement au nécessaire, avec des droits ajustés en temps réel.

Gestion des risques et conformité

La stratégie Zero Trust exige une analyse continue des risques pour déterminer les politiques d’accès et d’authentification adéquates.

Les risques doivent être gérés de manière dynamique et réactive.

Il est également primordial d’assurer la conformité avec les réglementations en vigueur, qui peuvent impliquer des rapports et des audits plus approfondis pour prouver que l’accès aux ressources est géré avec la rigueur que le modèle Zero Trust préconise.

  • Évaluation des risques : elle doit être effectuée en continu pour ajuster les politiques d’accès aux ressources critiques.
  • Cadre réglementaire : la sécurité Zero Trust doit s’aligner avec les réglementations spécifiques à chaque secteur, nécessitant souvent une documentation complète des contrôles de sécurité.

Sujet similaire : Gouvernance en cybersécurité : principes essentiels pour les entreprises modernes

Cas pratiques et études de cas

Dans cette section, nous explorons des cas concrets, analysant des exemples de déploiement de la sécurité Zero Trust ainsi que les leçons tirées des situations moins réussies.

Ces études fournissent des aperçus précieux sur les mesures de sécurité utilisées, l’impact sur l’expérience utilisateur et l’évolution de la posture de sécurité des entreprises.

Exemples de mise en œuvre réussie

  • Exemple 1 : Entreprise internationale de services financiers
    • Cas d’usage : mise en place d’un réseau Zero Trust pour sécuriser les transactions et les données clients
    • Succès : amélioration significative de la posture de sécurité et réduction des incidents de sécurité
  • Exemple 2 : Organisme de santé publique
    • Étude de cas : adoption du modèle Zero Trust pour protéger les données patients sensibles tout en maintenant la conformité aux réglementations
    • Succès : réseau Zero Trust personnalisé qui a amélioré l’expérience utilisateur pour le personnel médical sans compromettre la sécurité

Analyse des échecs et enseignements

  • Échec 1 : Startup technologique
    • Cas d’usage : tentative de déploiement rapide du Zero Trust sans formation adéquate du personnel
    • Leçon : l’importance cruciale de l’éducation et de l’engagement des employés pour la réussite d’une transformation de la sécurité
  • Échec 2 : Entreprise de commerce en ligne
    • Problème : application insuffisante des mesures de sécurité causant des défaillances dans la protection des données clients
    • Leçon : nécessité de réévaluer et modifier le code de sécurité régulièrement pour s’assurer que toutes les composantes respectent les principes du modèle Zero Trust

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Avenir de Zero Trust

L’adoption du modèle Zero Trust marque une évolution significative dans les stratégies de sécurité des entreprises. Il représente l’avenir de la cybersécurité pour faire face aux menaces toujours plus sophistiquées et aux tendances évolutives du paysage numérique.

Évolution des menaces et Zero Trust

Le modèle Zero Trust est conçu comme une réponse à la dynamique sans cesse changeante des menaces en matière de cybersécurité.

Les organisations constatent une recrudescence des attaques et la sophistication des menaces évolue à grande vitesse.

Ce modèle, fondé sur le principe de « ne jamais faire confiance, toujours vérifier », s’impose comme une stratégie de sécurité de nouvelle génération.

  • Tendances : avec l’augmentation de la numérisation et l’introduction des technologies cloud, les tendances indiquent que les entreprises doivent adapter leurs méthodes de protection. Le Zero Trust offre cette adaptabilité en intégrant des vérifications de sécurité continues et en limitant l’accès basé sur des critères stricts.
  • Avenir : prévisions suggèrent qu’une majorité de grandes organisations vont progressivement mettre en œuvre des architectures Zero Trust matures et mesurables d’ici les prochaines années. Cette approche devient un élément central des stratégies de sécurité en anticipant les évolutions futures.
  • Menace : face à des attaquants toujours plus ingénieux, le modèle Zero Trust s’avère nécessaire pour contrer non seulement les menaces externes mais aussi celles internes, réduisant ainsi le risque de compromission.
  • Évolution : la transition vers le Zero Trust s’inscrit dans une évolution logique des pratiques de sécurité qui insistent davantage sur la vérification et le contrôle d’accès granulaire.
  • Stratégie de sécurité : le déploiement de Zero Trust se traduit par la mise en place d’une stratégie de sécurité robuste qui évoluera et se renforcera avec l’avènement d’outils et de technologies avancées.

Pour aller plus loin : Qu’est-ce qu’une APT (Menace persistante avancée) ?

Quelques statistiques

Le marché mondial de la sécurité Zero Trust, évalué à 21,673.9 millions de dollars US en 2023, est prévu connaître une croissance annuelle composée (CAGR) de 19.5% de 2024 à 2030. Cette expansion témoigne de l’intérêt croissant des entreprises pour des architectures de sécurité robustes.

Répartition régionale :

  • Amérique du Nord : dominant le marché en 2022, cette région continue d’illustrer un engagement fort envers la mise en œuvre de modèles de sécurité Zero Trust.
  • Asie-Pacifique : vient ensuite, témoignant d’une adoption rapide des pratiques de sécurité avancées.
  • Europe, Amérique Latine, Moyen-Orient et Afrique : bien que ces régions aient une part de marché moindre, elles présentent un potentiel de croissance significatif.

Les prévisions pour les cinq régions principales de 2024 à 2030 soulignent une tendance à une adoption généralisée de la méthode Zero Trust à travers des industries et secteurs diversifiés.

Tableau synthétique :

RégionPart de marché en 2022Projection de croissance
Amérique du NordPlus grande partÉlevée
Asie-PacifiqueSeconde plus grandeTrès élevée
EuropeSignificative
Amérique LatineNotable
Moyen-Orient et AfriqueNotable

L’engouement pour la sécurité Zero Trust est en partie dû à l’intensification des menaces informatiques et à la nécessité de se conformer à diverses réglementations. Cette dynamique de croissance indique que les organisations reconnaissent de plus en plus l’importance de ne faire confiance à aucune entité par défaut et de toujours vérifier avant d’accorder l’accès aux ressources.

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FAQ

Quels sont les principes fondamentaux de l’architecture Zero Trust?

L’architecture Zero Trust repose sur le principe de « ne jamais faire confiance, toujours vérifier ».
Elle requiert une authentification stricte, une limitation minimale d’accès et une surveillance continue des réseaux et des ressources.

En quoi consiste la sécurité Zero Trust et comment est-elle mise en œuvre?

La sécurité Zero Trust consiste en une approche de cybersécurité qui n’accorde aucun accès automatique à l’intérieur ou à l’extérieur du réseau sans vérification préalable.
Sa mise en œuvre passe par des solutions d’identification et d’authentification, le micro-segmentation du réseau et le contrôle d’accès basé sur des politiques granulaires.

Comment la stratégie Zero Trust peut-elle être appliquée dans les services Cloud?

Dans les services Cloud, la stratégie Zero Trust s’applique en exigeant une authentification rigoureuse des utilisateurs et des dispositifs, ainsi qu’en mettant en place une segmentation du réseau et des politiques d’accès dynamiques qui s’ajustent en fonction du contexte de l’accès demandé.

Quel rôle joue Cloudflare dans la mise en place du Zero Trust?

Cloudflare facilite la mise en place du Zero Trust en offrant des services qui renforcent la sécurité des applications web, protègent contre les attaques DDoS et simplifient l’accès sécurisé pour les utilisateurs, peu importe leur localisation.

De quelle manière Microsoft intègre-t-il le modèle Zero Trust dans ses produits?

Microsoft intègre le modèle Zero Trust dans ses produits en offrant des fonctionnalités comme Azure Active Directory pour la gestion des identités et des accès, ainsi que des solutions de sécurité qui surveillent et régulent les accès à l’environnement et aux données.

Comment l’ANSSI perçoit-elle et recommande-t-elle l’approche Zero Trust?

L’ANSSI perçoit l’approche Zero Trust comme une évolution nécessaire dans les pratiques de sécurité.
Elle recommande l’adoption de ce modèle pour augmenter la résilience des systèmes d’information face à l’évolution constante des menaces de cybersécurité.

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